bonjour pouvez-vous m'aider a rèpondre à ses 2 question svp? a. Relevez les participes passés de ce poème. b. Justifiez l’accord de chacun. Je m’en allais, les
Question
a. Relevez les participes passés de ce poème.
b. Justifiez l’accord de chacun.
Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées;Mon paletot2aussi devenait idéal;J’allais sous le ciel, Muse! et j’étais ton féal3;Oh! là là! que d’amours splendides j’ai rêvées!Mon unique culotte avait un large trou.Petit Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse;Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou.Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur;Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes souliers blessés, un pied4près de mon cœur!
merci pour celui ou celle qui m'aidera
1 Réponse
-
1. Réponse niogret2m
Réponse :
Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; (épithète de poches)
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal ;
Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! (s'accorde avec le cod : amours au féminin pluriel, placé devant avoir)
Mon unique culotte avait un large trou.
Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.
Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur ! (épithète de souliers)